Confort intime féminin
Vitalys Alpes a décidé de prendre soin de vous Mesdames ! Nous allons en effet aborder un sujet 100% féminin et très fréquent : l’inconfort intime. Car, tôt ou tard, chaque femme est amenée à faire face à ce type de désagrément.
Parce que le bien-être ne mérite aucun tabou et parce que des solutions naturelles existent, faisons la lumière sur un sujet tout à la fois sensible et plein d’espoir.
La sphère gynécologique est un écosystème complexe et fragile. Vaginose, dysbiose, mycose, sécheresse, démangeaisons, inconforts… ce ne sont là que quelques exemples de problèmes intimes rencontrés par les femmes au cours de leur vie. Dans la plupart des cas, ces soucis trouvent leur origine dans une flore vaginale déséquilibrée et perturbée.
Qu’est ce que la flore vaginale ?
La flore vaginale est constituée de diverses espèces de bactéries lactiques (les actobacilles), formant une sorte de « biofilm » sur les muqueuses. Ces bactéries « partenaires » jouent un rôle protecteur face aux micro-organismes extérieurs. Pour défendre la sphère vaginale, elles déploient des trésors d’ingéniosité : sécrétion d’acides organiques, exclusion stérique, production de substances antimicrobiennes, co-aggrégation… les mécanismes employés par la flore vaginale pour lutter contre les agents pathogènes et les infections sont très spectaculaires. Une véritable « guerre microscopique » qui se déroule chaque jour au sein de l’intimité féminine !
Une flore utile... mais fragile
On l’a compris, la flore vaginale est d’une utilité fondamentale pour l’intégrité de l’intimité féminine. Mais son équilibre est particulièrement délicat. Il existe en effet de nombreux facteurs pouvant l’endommager :
- les antibiotiques
- une hygiène intime inappropriée, ou trop fréquente
- l’utilisation de savons et d’antiseptiques agressifs
- les sous-vêtements inadaptés, les vêtements trop serrés
- la piscine, le sauna, le spa
- les troubles hormonaux (ménopause, règles…)
- le tabac, le stress
- le diabète
Les facteurs aggravants sont : les fortes chaleurs, une station debout prolongée au travail ou les voyages en avion. D’autres facteurs de risque comme l’hérédité, la sédentarité, une grossesse, le surpoids, les variations hormonales et l’hygiène de vie peuvent également entrer en ligne de compte.
Cet environnement fragilisé et perturbé va alors favoriser le développement de pathologies vaginales telles que les vaginoses bactériennes et les mycoses (candidoses).
Des pertes malodorantes et fluides sont plutôt les signes d’une vaginose bactérienne. Les démangeaisons, les pertes blanches grumeleuses et l’absence d’odeur traduisent plutôt une mycose. Qu’il s’agisse d’une vaginose ou d’une mycose, une consultation médicale et des analyses biologiques s’imposent afin de dresser un diagnostic exact. La confusion entre les deux pathologies peut en effet induire des erreurs de traitements (antibiotiques ou antifongiques).
Quand consulter ?
Soyez attentives aux différents signes : sensations de brûlures, irritations des muqueuses intimes, rougeurs, démangeaisons, douleurs, pertes vaginales… si vous observez l’un de ces symptômes, cela signifie probablement que votre flore intime est déséquilibrée et qu’il faut consulter un professionnel de santé.
Les antibiotiques et antifongiques sont généralement efficaces pour le traitement des mycoses et des vaginoses. En revanche, ils ne permettent pas la réinstallation d’un microbiote vaginal sain et équilibré, utile pour empêcher les récidives. Après avoir éliminé les symptômes de la sphère intime, il est important de reconstituer la composition de cet écosystème. Pour cela, une prise de probiotiques contenant des lactobacilles - identiques à ceux de la flore de Doderleïn – est la meilleure solution pour retrouver un équilibre durable de la flore. Pour « réintroduire » des lactobacilles similaires à celles présentes au sein de cette flore, il faut donc privilégier les souches :
- Lactobacillus acidophilus
- Lactobacillus crispatus
- Lactobacillus gasseri
- Lactobacillus rhamnosus
- Bifidobacterium bifidum
- Lactobacillus fermentum
Plusieurs études scientifiques ont démontré que les probiotiques pris par voie orale colonisent le microbiote gastro-intestinal pour ensuite rétablir un microbiote vaginal sain grâce aux interactions entre la muqueuse de l’intestin et celle du vagin.
En effet, le microbiote intestinal constitue un réservoir de lactobacilles pour la flore intime. Par ailleurs, la prise par voie orale (gélules) est une alternative idéale, car beaucoup plus pratique que les dispositifs locaux tels que les traitements par ovules ou capsules.
Une innovation des laboratoires Vitalys Alpes
En couplant une formule probiotique et une formule aux plantes, Intimalys constitue une véritable innovation sur le marché.
- La formule probiotique (gélule gastrorésistante transparente) apporte toutes les souches nécessaires pour reconstituer la flore vaginale : 6 souches idéalement dosées, enrichies en vitamines C et B2.
- La formule aux plantes (gélule végétale verte) contient des extraits de piloselle et d’orthosiphon. En favorisant l’élimination des toxines, ces 2 actifs facilitent la réintroduction des souches probiotiques et participent au confort urinaire.
L’action en totale synergie des probiotiques et des plantes, apporte un véritable équilibre et un meilleur confort de toute la sphère vaginale. Une flore plus équilibrée, un vagin mieux hydraté naturellement et … une résistance accrue face aux agents pathogènes externes.
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- Favorise le bien-être intime
- Soutient l’équilibre du microbiote vaginal
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